Classiquement, la stratigraphie était une branche de la Géologie, essentiellement descriptive, où les géologues partaient du particulier (observations) pour le général (hypothèse ou modèle), dont les objectifs principaux étaient : (i) Détermination de l'âge des roches à partir des fossiles qui elles contenaient ; (ii) Détermination de l'environnement dans lequel les roches sédimentaires se sont formées, en utilisant leurs propriétés physiques, chimiques, et leurs fossiles ; (iii) Corrélation des couches rocheuses des différents bassins, ou, voire même, sur des continents différents ; (iv) Explication des caractéristique principales des dépôts sédimentaires, comme, par exemple, leur cyclicité et (v) Détermination et tentative d'explication des changements climatiques à travers l'histoire géologique (paléoclimatologie). C'est pour cela même, que la plupart des géoscientistes ont sourit quand ils ont entendu certains médias et/ politiciens parler de réchauffement global anthropique en oubliant les changements climatiques.

En fait, la stratigraphie est étroitement associée à la paléoclimatologie (ne pas confondre avec la climatologie moderne, et surtout, avec la météorologie). Dans la réalité, à l'échelle du temps géologique, un plan de stratification, ou, par exemple, la limite entre une couche de sable et une couche d'argile, correspond, souvent, à un changement climatique, de la même façon qu'à l'échelle humaine, les rythmites de marée ou les varves marquent des changements climatiques. L'intervalle plus foncé d'une varve s'est déposé pendant l'hiver, tandis que l'intervalle plus clair et plus grossier, s'est déposé durant l'été de la même année. De manière similaire, les moraines, tillites, roches striées et roches moutonnées suggèrent, fortement, l'occurrence, plus ou moins, cyclique, de périodes glaciaires, dont certaines au cours du Pléistocène. De surcroît, historiquement, depuis 2500 ans avant J.C., sont connues six périodes chaudes : (i) Pré - dynastie de l'Égypte Ancienne ; (ii) Égypte Ancienne Intermédiaire ; (iii) Empire Romain ; (iv) Moyen - Âge (jusqu'à la chute de Constantinople, 1453) ; (v) Siècles XIXe et XXe et (vi) Siècle XXIe. Les périodes intermédiaires froides sont : (a) Période Nomade ; (b) Empire Grec ; (iii) Âge des Ténèbres ; (iv) Petit Âge Glacière et (v) Fin du XXe siècle (induite par l'explosion volcanique du Pinatubo). Cela suggère que c'est l'homme qui s'adapte aux changements climatiques et non l'homme qui contrôle ou cause les changements climatiques. Une augmentation de dioxyde de carbone dans l'atmosphère est, probablement, dangereuse, non pas, parce qu'elle provoque une augmentation de la température, mais parce qu'elle peut, éventuellement, augmenter l'acidité des océans, ce qui est beaucoup plus grave (Allègre, C., 2010), car elle peut détruire les organismes authotrophes. Sur ce sujet, il ne faut pas oublier que les océans contiennent environ 40 000 gigatonnes de carbone (1 gigatonne = 10^9 =1 000 000 000 tonnes), soit, environ, 50 fois plus que le carbone de l'atmosphère et environ 50 fois plus du carbone qui est stocké par l'ensemble des végétaux et des animaux qui peuplent les continents (J. Merle, 2011). En d'autres termes, une petite augmentation de la température des océans peut éventuellement libérer une énorme quantité de dioxyde de carbone. En fait, il semble que c'est l'augmentation de la température qu'induit une augmentation de la teneur de dioxyde de carbone dans l'atmosphère et non le contraire. En effet, les courbes de la température et du dioxyde de carbone, depuis environ 600 mille ans, ne sont pas coïncidentes, mais décalées d'environ 800 ans (EPICA, 2006), ce qui suggère que c'est l'augmentation de la température des océans qui provoque l'augmentation du dioxyde de l'atmosphère.

Dans la Stratigraphie, pour essayer de comprendre tous ces problèmes, les géoscientistes et, en particulier les géologues ont divisé les strates selon leurs caractéristiques physiques, leurs fossiles ou leurs relations temporelles. Fonction des caractéristiques prises en compte, différents types d'unités stratigraphiques ont été considérées : (i) Biostratigraphiques ; (ii) Chronostratigraphiques ; (iii) Lithostratigraphiques, etc.. Les unités biostratigraphiques, par exemple, étaient et continuent à être, des ensembles de roches ou strates unifiés par leurs fossiles ou leurs caractéristiques paléontologiques, qui les différencient des couches sous et sus-jacentes. Toutefois, elles peuvent être basées sur : (a) La présence de fossiles ; (b) Le type de fossiles qu'elles contiennent ou uniquement sur un certain type ; (c) L'ensemble complet de taxa ; (d) La combinaison particulière de fossiles et (e) L'intervalle d'un taxon ou taxa de fossiles, etc.

L'avènement de la théorie des systèmes (Bertalanffy KL, 1934), du critérium de falsification (K. Popper, 1934 à 1959), de la Tectonique des Plaques (Vine, FJ, Matthews, D., et al., 1963) et l'utilisation de la sismique réflexion, en particulier dans la recherche pétrolière, ont obligé les géoscientistes à considérer l'étude des roches sédimentaires des différents bassins, non seulement d'une manière holistique, c'est-à-dire, à partir du général (hypothèse ou modèle) vers le particulier (observations), mais aussi d'une manière critique. La méthode scientifique utilisée dans la stratigraphie classique (méthode d'Aristote, reprise par Averroès (Ibn Rushd), Thomas d'Aquin et F. Bacon) : (I) Hypothèse ("supposito"), (ii) Démonstration ("compositio") et (iii) Vérification ("resolutio"), a été progressivement remplacée par la méthode PHT de C.S. Peirce (1931-1935). Dans cette méthode, dès qu'un géoscientiste a un problème stratigraphique (P de PHT), par exemple, il avance une hypothèse (H de PHT) et après, avec des données d'observation (terrain, lignes sismiques, etc.), il teste (T de PHT) l'hypothèse admise à priori. En d'autres termes, il essaye de prouver que l'hypothèse admise est fausse (réfutation) et non, comme dans la méthode d'Aristote, où il essaye de la confirmer ou de la vérifier (vérification). Dans la stratigraphie moderne et en particulier la stratigraphie séquentielle (notamment lorsqu'elle est faite à partir des lignes sismiques), la Théorie précède l'Observation (K. Popper, 1934). Un géoscientiste ne peut qu'observer ce qu'il connaît. S'il ne sais pas, par exemple, ce qui est, un delta ou une rétrogradation, il peut passer des années sur le terrain ou à regarder des lignes sismiques (observer implique l'existence, à priori, d'un problème à résoudre) sans jamais comprendre la progradation des dépôts deltaïques et la rétrogradation des dépôts transgressifs et que les deux sont induites par une montée relative du niveau de la mer (montée en décélération dans le premier cas et en accélération dans le second), pour un apport terrigène normal.

Quand une ligne sismique vierge est montrée à un géoscientiste entraîné en traitement des données sismiques, au-delà des réflecteurs les plus évidents, il reconnaîtra, facilement des multiples, diffractions, bruits sismiques, plus au moins, cohérents, etc. Quand la même ligne est montrée à un géoscientiste entraîné en géologie structural, il reconnaîtra sans difficulté des blocs faillés, failles de croissance, anticlinaux, synclinaux, failles normales, etc. De même, un géoscientiste familiarisé avec les processus de dépôt, il reconnaîtra des rebords de bassin, rebords continentaux, cônes sous-marins de bassin et de talus, vallées incisées, récifs, etc. Un géoscientiste accoutumé aux modèles de déposition épisodique il identifiera, facilement, des cônes sous-marins, barres de méandre, dépôts de marée, dépôts de tempête, etc. Finalement, un géoscientiste connaissant les concepts eustatiques de base, reconnaîtra des cycles stratigraphiques, éventuellement des cycles-séquence, dépôts de bas niveau (de la mer), biseaux d'aggradation, déplacement des ruptures d'inclinaison des surfaces de dépôt, etc. Dans la réalité, il y a différents type de géoscientistes. Quelqu'uns utilisent des équipement techniques très coûteux, d'autres utilisent uniquement un marteau. Cependant, tous appliquent, plus au moins, une méthode scientifiques particulière, qui produit un entendement (connaissance), qui normalement est admis comme universel, quantifiable, empirique et avec pouvoir prédictif (Robinson, D. and Groves, J., 2002). Certains géoscientistes construisent leurs hypothèses et conjectures par induction, qui est un méthode scientifique évidente : ils observent des affleurement, lignes sismiques, sections stratigraphiques, fossiles, etc., et après avancent une hypothèses ou théorie. Néanmoins, déjà, il y a environ plus de deux siècles, Hume a signalé que l'induction offre uniquement une probabilité et non une certitude : un géoscientiste peut dire uniquement, que jusqu'à maintenant, il est probable que tous les grès sont des roches-réservoirs.

D'autre part, il ne faut pas oublier que voir n'est pas prouver. En fait, ce qu'un géoscientiste et, en particulier, un interprétateur (des lignes sismiques), voit est, très souvent influencé par sa culture et éducation, une fois que d'après la plupart des philosophes des sciences, il est difficile qu'il échappe à toutes ses présuppositions sur le monde et qu'il est également impossible qu'il décrive ce qu'il voit dans un langage objective. En d'autres termes, toute observation géologique est chargée de théorie. Ainsi, quand un géoscientistes dit : "Cette discordance est la limite supérieure d'un bassin de type-rift", il est évident qu'il sait qu'une discordance est une surface d'érosion induite par une chute relative du niveau de la mer et qu'un bassin de type-rift est un basin que se forme par allongement (étirement) de la croûte continentale des supercontinents. En fait, quand un géoscientiste observe une ligne sismique, un telle opération n'est pas un simples processus de recevoir, passivement, des données sensorielles, mais une processus beaucoup plus complexe de réception, sélection et classement de l'information. Même quand il voit qu'une amplitude sismique est rouge, il se révèle être un processus extrêmement complexe, comme illustré ci-dessous.

Quand un géoscientiste regard une tentative d'interprétation géologique d'une ligne sismique, des ondes électromagnétiques sous la forme lumière blanche illuminent la tentative d'interprétation. Une partie de la lumière est absorbée et l'autre est réfléchie. Des longueurs d'onde particulières entrent dans les yeux, stimulant les cellules de la rétine, ce qui cause des complexes changements chimiques et électriques dans le cerveaux du géoscientiste et terminent dans le centre de vision dans la partie arrière du cerveau. Ainsi, il voit avec son cerveau des représentations internes de la tentative d'interprétation et non la réalité. De surcroît, une ligne sismique vierge (non-interprété) représente, elle aussi, en temps, une copie de la réalité. D'autre part, pas tout le monde voit les mêmes couleurs dans la tentative d'interprétation (Robinson, D., 2005).

En fait, l'interprétation géologique d'une lignes sismiques basée sur l'induction ne sera jamais certaine, et aura toujours un problème avec sa discutable base empirique et humaine. Karl Popper a suggéré que «la théorie de la falsification" serait une façon beaucoup plus sensible de réflexion sur la démarche scientifique. A son avis, une tentative d'interprétation géologique d'une ligne sismique doit toujours être provisoire. En outre, un vrai géoscientiste en charge de l'interprétation doit toujours suggérer des façons de falsifier sa tentative d'interprétation et des nouvelles observations contradictoires. Par exemple : Dans une certaine tentative d'interprétation géologique, les structures en forme de cloche sont interprétées, souvent, comme des anticlinaux, puisque les marqueurs chronostratigraphiques semblent être raccourcis. Toutefois, si des nouvelles données sismiques montrent des failles normales au sommet de ces structures, contemporaines de la déformation, ces structures, doivent être interprétées comme antiformes (allongement) et non comme des anticlinaux (raccourcissement).

Rappelons que la méthode d'inductive peut être résumée comme suivi : (i) Un géoscientiste observe qu'à de nombreuses reprises des points lumineux (Y) correspondent à des hydrocarbures (X) ; (ii) Sur cette base il avance l'hypothèse que les hydrocarbures (X) induisent des point brillants ou brighspots (Y) ; (iii) Il fait d'autres tests et à chaque fois Y (points brillants) correspondent X (hydrocarbures) ; (iv) Il avance l'hypothèse que X (hydrocarbures) est la cause Y (points lumineux), c'est-à-dire, que Y (points lumineux) suivra toujours X (hydrocarbures) ; (v) Mais il n'est pas complètement sure, car il ne peut pas vérifier chaque exemple possible de Y ( points lumineux).

Les colonnes stratigraphiques des bassins sédimentaires sur les différents continents ont été divisées en paquets limités, soit par des surfaces de base des progradations (stratigraphie génétique), soit par les discordances, c'est-à-dire, par des surfaces d'érosion (stratigraphie séquentielle). La stratigraphie génétique permet aux géoscientistes de localiser les roches-mères potentielles des hydrocarbures les plus probable, alors que la stratigraphie séquentielle permet de mieux localiser les roches-réservoirs, plus probables, un fois que celles-ci terminent par des biseaux d'aggradation contre les discordances, lesquelles sont induites par des chutes relatives du niveau de la mer. Les discordances (surfaces d'érosion), induites par les chutes relatives du niveau de la mer, sont, essentiellement, contrôlées par l'eustatisme, bien que localement, elles puissent être renforcées par la tectonique. C'est l'eustasie ou l'eustatisme (variations globales du niveau des mers) qui mieux explique la cyclicité des dépôts sédimentaires. L'influence de l'eustasie dans les dépôts et sa cyclicité a été reconnu par les géoscientistes depuis plusieurs siècles : (i) 1748 - B. de Maillet ; (ii) 1789 - Lavoisier ; (iii) 1909 - E. Suess ; (iv) 1911 - P. Lemoine ; (v) 1935 - H. Stille ; (vi) 1950 - C. E. Wegmann ; (vi) 1954 - P. F. Burrolet ; (vii) 1963 - L. L. Sloss et, finalement, dans les années 70, par les géoscientistes de la Créole (Filiale d'Exxon, au Venezuela), dont les principales idées ont été publiés en 1977 (Vail, P. R. et al., 1977) dans le mémoire n°77 de l'AAPG. En effet, il semble que l'espace requis pour le dépôt des sédiments (accommodation) est créée par une combinaison de l'eustatisme et de la tectonique (soulèvement ou subsidence). Cependant, comme, en général, les changements eustatiques sont beaucoup plus rapides que les changements tectoniques, au moins dans environ 90% des cas, c'est eustasie qui est la responsable principale de la cyclicité des dépôts. C'est l'eustasie qui créée les surfaces d'érosion (discordances), à la suite des chutes relatives du niveau marin, lesquelles limitent les différents paquets sédimentaires. Pour avoir une cyclicité des dépôts sédimentaires, il est nécessaire que les sédiments soient exposés aux agents de l'érosion de manière répétitive, ce qui implique des chutes relatives du niveau de la mer, plus ou moins, cycliques. La tectonique sans variations eustatiques, comme, dans le cas d'un soulèvement diapirique ou celui d'une subsidence continue, ne provoque pas de cyclicité, une fois que l'accommodation (espace disponible pour les sédiments), varie, localement, de manière continue (diminution dans le premier cas, augmentation dans le second).

Avant de continuer, il nous semble important de rappeler ici, rapidement, comment la Stratigraphie Séquentielle est née, pour mieux comprendre l'impact de la sismique de réflexion dans la stratigraphie moderne:

La cyclicité des dépôts sédimentaires a été reconnue depuis plusieurs siècles et plusieurs hypothèses ont été avancées pour tenter l'expliquer. D'entre ces hypothèses, la plus difficile à réfuter est, sans doute, l'eustatisme ou l'eustasie, c'est-à-dire, les variations (relatives ou non) do niveau de la mer, laquelle a été avancée, par la première fois, en 1748, par Benoit de Maillet e reprise, plus tard par Lavoisier (1789), Lemoine (1911), Wegmann (1950), Burollet (1956), etc.. Tous ces géoscientistes se sont basés en observation de terrain, faites à l'échelle mésoscopique (échelle de la continuité), lesquelles sont limitées par l'extension, continuité et lithologie des affleurements, ce que veut dire, en termes modernes, qu'ils se sont basés sur des observations limitées faites en faciès (lithologie avec une faune caractéristique associée). D'autre côté, il est important de ne pas oublier que la plupart des unités sédimentaires qui affleurent ont été raccourcies, c'est-à-dire, soulevées et, en partie, érodées, ce que difficulte, encore plus, la reconnaissance des variations latérales de faciès e l'identification des lignes chronostratigraphiques. La compréhension de la cyclicité des dépôts sédimentaires, qui n'est pas autre chose qu'une récurrence de certains phénomènes géologiques à des intervalles de temps, plus au moins, réguliers, passe, avant tout, par la possibilité de déterminer les lignes temps (lignes chronostratigraphiques) des séries stratigraphiques, par les géoscientistes, ce qu'avant l'avènement de sismique de réflexion était très difficile sinon impossible.

Sur le terrain, les géoscientistes sont capables d'identifier, facilement, les discordances angulaires, qui sont des discordances eustatiques (induites par des chutes relatives du niveau de la mer significatives, c'est-à-dire, que mettent le niveau de la mer plus bas que le rebord du bassin) renforcées par la tectonique, mais, pratiquement, il sont incapables d'identifier une discordance (surface d'érosion) eustatique normale. De surcroît, la détermination de l'âge (ligne temps) d'une discordance angulaire est très difficile. Elle est donnée par l'âge des cônes sous-marins de bassin, associés avec la chute relative du niveau de la mer qui a exhumée la plate-forme continentale, lesquels se déposent dans le secteur distale e profond de la ligne temps associée, ce qui est très difficile, mais pas impossible, de déterminer à parti de donnés de terrain. L'échelle mésoscopique des données de terrain n'est pas appropriée pour reconnaître et déterminer les lignes temps.

Dans les années 60, les géoscientistes, comme P. Vail l'a rappelé, pensaient que les horizons sismiques visibles sur une ligne sismique étaient, presque exclusivement, associés aux contrastes d'impédance déterminés par la lithologie des intervalles sédimentaires (faciès). Cependant, quand Exxon, a exploré l'offshore de la Guinée Portugaise (aujourd'hui Guinée Bissau), trois puits d'exploration ont été perforés. Le plus oriental a trouvé le sommet des roches-réservoir au-dessus d'une discordance, avec des roches paléozoïques en-dessous. Quand le deuxième puits d'exploration, localisé structuralement plus bas, a été perforé, les géoscientistes d'Exxon ont pronostiqué que les sables devraient être rencontrés plus haut que dans le premier puits, mais dans la réalité, ils ont été rencontrés plus bas. Une expérience similaire s'est passée avec le troisième puits. Tenant compte des ces résultats négatifs, les géoscientistes d'Exxon ont ré-interprété les lignes sismiques, et, avec surprise, ils ont constaté que la réflexion du tope des sables du premier puits était deux réflexions au-dessus du tope des sables du deuxième puits et encore plus hauts dans le troisième puits d'exploration.

Comme les corrélations entre les données sismiques et les données des puits étaient difficiles à réfuter, les données micropaléontologiques suggéraient, fortement, que les réflecteurs sismiques suivaient les lignes temps (lignes chronostratigraphiques) et non des lignes faciès (lithologie), comme initialement était admis. Ainsi, par la première fois, les géoscientistes ont constaté que les corrélations entre les données sismiques et les diagraphies montraient que les vraies surfaces physiques coupent les lignes temps des unités rocheuses transgressives, et que les réflexions sismiques ne suivent pas les limites des formations géologiques (faciès), où les contrastes d'impédance acoustique ont lieu, mais qu'elles suivent, plus au moins, les patterns de la stratification ou des vraies surfaces physiques des roches.

La conjecture de que les réflecteurs sismiques coupent les limites de faciès et les formations géologiques (que ne sont pas des surfaces physiques continues) a constitué, à l'époque (± 1966), une vraie révolution, non seulement parce qu'elle réfutait un des principes basiques da la sismique de réflexion, mais, et surtout, parce qu'elle donnait aux géoscientistes une nouvelle façon de faire la Géologie, et en particulier la Stratigraphie, à l'échelle macroscopique, à partir des données sismiques. Ainsi, est née la Sismostratigraphie, que les géoscientistes d'Exxon ont définit, plus tard, comme :

"Une succession d'unités stratigraphiques prédictif, incluant cycles-séquences, cortèges sédimentaires et paracycle-séquencces, définis dans la base de la géométrie interne des intervalles sismiques, plus au moins, épais, et des surfaces sismiques (définies par les terminaisons des réflecteurs), que se sont déposés en réponse aux changements de l'accommodation (espace disponible pour les sédiments) dans la plate-forme continentale"

La Sismostratigraphie, qui est faite dans un cadre chronostratigraphique global, considère des paquets ou des groupes de paquets de réflecteurs (cycles stratigraphiques), génétiquement associées et limités par des surfaces d'érosion (discordances), induites par des variations relatives du niveau de la mer (cycles eustatiques) ou par leurs conformités corrélatives (dans les parties profondes du bassin). Le caractère holistique de la Sismostratigraphie, où le Tout é beaucoup plus que la somme des Parts, c'est-à-dire, que la simple description des Parts ne permet pas la compréhension du Tout, contrastait, fortement, avec la Lithostratigraphie et Biostratigraphie des géoscientistes de terrain (principalement ceux qui travaillaient dans les Académies), lesquelles correspondent, basiquement, à des simples descriptions do faciès (lithologie plus une faune associée) que n'ont aucun pouvoir prédictif.

Considérant l'histoire de la Terre, comme un processus évolutif, dans lequel des changement unidirectionnels (au moins dans ce qui concerne leurs effets), autres oscillatoires ou cycliques et autres, plus au moins, aléatoires, tandis que le tout est ponctué par petites ou grandes catastrophes, les géoscientistes d'Exxon ont pris la Sismostratigraphie comme un exemple typique d'événements géologiques cycliques, dans lequel :

1) L'Eustasie était le principal paramètre qui contrôlait la cyclicité des dépôts, et

2) Que chaque chyle eustatique hiérarchique induisait un cycle stratigraphique corrélatif.

Ainsi, dans les tentatives d'interprétation, en termes géologiques, des lignes sismiques, les géoscientistes passaient, progressivement, par différentes étapes, sans oublier que la durée d'un cycle eustatique est toujours beaucoup plus grande que la somme du temps de déposition des sédiments (les roches du Système Crétacé ne sont équivalentes au Période Crétacé en temps, une fois que l'intégralité et préservation des cycles stratigraphiques est toujours inférieur à 1, vu que les registres des roches sont épisodiques, dans son accumulation, et incomplets, dans sa préservation, e qu'il y a toujours des grandes périodes de temps pendant lesquelles les sédiments se sont pas déposés ou qu'ils ont été érodés) :

(a) Identification des discordances, c'est-à-dire des surfaces d'érosion induites par les variations relatives du niveau de la mer (cycles eustatiques), à partir des biseaux d'aggradation e biseaux sommitaux, lesquelles limitent les cycles stratigraphiques e contre lesquelles toutes les roches-réservoir potentielles terminent par bisellement.

(b) Identification des différents cycles stratigraphiques :

b.1) Cycles d'Empiétement Continental, induits par des cycles eustatiques de 1er ordre, dont la durée est supérieure à 50 My et qui sont crées par les variation de volume des bassins océaniques induites par l'agrégation e rupture des supercontinents ;

b.2) Sub-cycles d'Empiétement Continental, induits par des cycles eustatiques de 2e ordre, dont la durée varie entre 3-5 et 50 My e qui sont crées par les variations de la subsidence tectonique ;

b.3) Cycles-séquence, induits par des cycles eustatiques de 3e ordre, dont la durée varie entre 0.5 et 3-5 My e que sont induits para la glacio-eustasie. Ces cycles sont constitués par des cortèges sédimentaires composés par une succession latéral de systèmes de déposition (lithologies avec une faune associée) synchrones e génétiquement liés (si un ne se dépose pas les autres n'ont plus) ;

b.4) Paracycles-séquence, induits par des paracycles eustatiques (montées relatives du niveau de la mer sans chute relative entre elles), qui sont crées par le glacio-eustasie e que constituent les cortèges sédimentaires qui composent les cycles-séquence.

(c) Identification des Cycles-séquence (la différence d'âge entre les discordance supérieur et inférieure que les limitent doit être inférieur à 3-5 My) et des discordance do type I (chute relative du niveau de la mer qui l'a plus bas que le rebord du bassin) et du type II (chute relative du niveau de la mer qui a mis le niveau de la mer entre la rupture d'inclinaison de superficie de déposition côtière e le rebord du bassin) ;

(d) Localisation des ruptures d'inclinaison de la surface de déposition côtière, qui du continent vers le basin sot : (i) Rupture associée à la ligne de baie ; (ii) Rupture associée à la ligne de côte ; (iii) Rupture associé au rebord du bassin ; (iv) Rupture associée à la base du talus continental (en certains cas quelques unes de ces ruptures peuvent être coïncidentes) ;

(e) Construction de la courbe des biseau d'aggradation et de la courbe des variations relatives du niveau de la mer, qui permettent, de facilement, voir le déplacement (vers la mer ou vers le continent) de la rupture d'inclinaison associée à la ligne de côte (que quand le bassin n'a pas de plate-forme continental coïncidé avec le rebord do bassin), ce qui permet de mettre en évidence les discordances ainsi que les transgressions e régressions ;

(f) Identification des cortèges sédimentaires dans chacun des cycles-séquence, que de la base vers le sommet sont : (i) Cônes sous-marins de bassin (CSB); (ii) Cônes sous marins de talus (CST) ; (iii) Prisme de Bas Niveau (PBN) ; (iv) Cortège Transgressif (CT) ; (v) Prisme de Haut Niveau (PHN), ce qui permet de prédire la lithologie, une fois que chaque cortège est une association latérale de systèmes de dépôts (lithologie plus faune) synchrones e génétiquement liés ;

(g) Calibration des cycles-séquence et cortèges sédimentaires à partir des résultats des puits d'exploration disponibles, ce qui a permis le développement d'une nouvelle stratigraphie cyclique - Stratigraphie Séquentielle - faite à partir des diagraphies électriques, dont l'échelle e résolution sont, évidement, très différentes de celles des lignes sismiques ;

Les géoscientistes des compagnies pétrolières, les seules entités que disposaient de données sismiques, ont essayé de réfuter sur le terrain, c'est-à-dire, à l'échelle naturelle (1:1), sans succès, certaines observation faites sur les données sismiques (Sismostratigraphie) donc l'échelle verticale est en temps et la résolution (vertical et horizontal) de quelques dizaines de mètres. Avec le temps, la plupart des géoscientistes des Académies a eu accès aux données sismiques des compagnies pétrolières et a parfaitement compris la méthodologie de la Sismostratigraphie, qu'ils ont adapté de manière extraordinaire aux données de terrain e diagraphies électriques, et ainsi est née la Stratigraphie Séquentielle.

La stratigraphie séquentielle obéit à la théorie des systèmes. La colonne stratigraphique d'un bassin sédimentaire est beaucoup plus que la simple somme des couches que la composent (le tout, comme le disait déjà Pascal), elle est plus que la somme des parts et les caractéristiques du tout ne peuvent pas être correctement déduites à partir des caractéristiques des parts). De même, la Stratigraphie Séquentielle obéit à la théorie de la hiérarchie (niveaux de complexité d'un système) de E. Boulding (1956) et de A. Koestler (1967) : Une certaine colonne sédimentaire est composée de niveaux hiérarchiques formés par des entités ayant des propriétés qui caractérisent le niveau en question.

En d'autres termes, dans un bassin sédimentaire, un certain intervalle peut être un membre d'un cycle paraséquence, cycle-séquence, sous-cycle d'empiétement continental ou cycle d'empiétement continental fonction des relations du niveau en question par rapport aux niveaux adjacents. Ceci implique que quand un système stratigraphique est observé (terrain ou ligne sismique) deux aspects indépendants doivent être considérés. Le premier, c'est l'échelle à laquelle les observations sont faites. Le deuxième est le critérium d'observation, qui défini le système (le tout) en premier plan (cycle d'empiétement continental), indépendamment du reste (sous-cycles d'empiétement continental, cycles-séquence et paracycles-séquence). Ce critère d'observation utilise les types de parts (paracycles-séquence, cycles-séquence, sous-cycles et cycles d'empiétement continental) et les relations entre elles pour caractériser le système (cycle d'empiétement continental). Autrement dit, les critères d'observation génèrent uniquement des classes isolées. Ce sont les critères d'observation qui différencient la Stratigraphie Séquentielle de la stratigraphie classique descriptive ou inductive.

Dans la Stratigraphie Séquentielle, pour faire des prédictions lithologiques (faciès) probables, il est nécessaire de prendre en ligne de compte la hiérarchie des cycles eustatiques ayant entraîné le dépôt des différents paquets sédimentaires (cycles stratigraphiques). Les prédictions lithologiques ne peuvent être faites que pour les cycles-séquence (haut rang), lesquels sont induits par des cycles eustatiques dont la durée varie entre 0.5 et 3.5 My (cycle eustatique 3e ordre). Chaque cycle-séquence est composé d'un certain nombre de cortèges sédimentaires, lesquels sont composés par des paracycles-séquences (la plus haute hiérarchie), qui sont déposés pendant des montées relatives et successives du niveau de la mer, autrement dit, sans qu'aucune descente relative existe entre elles (paracycle eustatique). À son tour, chaque paracycle-séquence se compose d'une chaîne latérale des systèmes de dépôts, génétiquement liés, qui sont caractérisés par un faciès caractéristique (lithologie carloscramez@gmail.com faune). Cela signifie que pour prévoir une lithologie, l'interprétation stratigraphique doit être faite au plus haut niveau, c'est-à-dire, au niveau des cycles et paracycles-séquence. De tout ceci, il ressort que la Stratigraphie Séquentielle et la Stratigraphie Génétique correspondent à des domaines spécialisés de la stratigraphie qui vont bien au-delà des domaines traditionnels de la lithostratigraphie, biostratigraphie, chronostratigraphie, etc.

Le lecteur pourra facilement remarquer qu'un certain nombre de termes, apparemment redondants, ont été définis et illustrés afin de mieux montrer que la simplicité de la Stratigraphie Séquentielle est trompeuse, car il y a des complications derrière ces termes. Effectivement, c'est uniquement lorsque l'on sait ce signifient véritablement les termes, tels que "turbidites", "force", "transgression", etc., que l'on peut prétendre avoir atteint une véritable compréhension. En fait, les mots sont des codes et on ne peut pas se permettre une utilisation familière qui dissimule une incompréhension. Par conséquent, on doit toujours s'interroger sur la signification des concepts introduits dans la description des termes, qui sont, généralement, acceptées sans discussion. À un niveau plus avancé de compréhension de la Stratigraphie Séquentielle, les termes n'ont pas de sens. Ils acquièrent une signification apparente uniquement pour permettre de circonscrire les phénomènes stratigraphiques et faciliter le dialogue. En d'autres termes, dans la stratigraphie les termes grès et turbidite, ne sont pas en eux-mêmes un grès et une turbidite, autrement dit, "être" et "représentation" ou «"désignation de l'être" n'ont pas la même signification. De même, les modèles géologiques utilisés ne doivent pas être considérée comme la réalité géologique, mais simplement comme une réalité virtuelle incomplète. Par contre, sans une théorie sous-jacente, c'est-à-dire, sans un modèle géologique, les observations n'ont pas de sens. Bien que les modèles précèdent les observations, un modèle sans les observations pour le construire, le développer, et plus tard, le tester ne peut pas traduire une réalité géologique. Contrairement à l'idée très acceptée dans la communauté des géoscientistes, dans laquelle les observations ne sont pas faites sur la base de modèles géologiques. La plupart des hypothèses scientifiques suivies dans ce thesaurus ont été formulées à priori de façon à expliquer les problèmes posés par les observations, lesquelles sont imprégnées de théorie, c'est-à-dire, dépendantes du modèle utilisé par l'observateur.

Il convient de noter que dans ce thésaurus, chaque fois que possible, nous avons utilisé la définition originale et nous l'avons illustrée soit par des photos, figures, coupes géologiques, lignes sismiques ou respectives tentatives interprétations géologiques. Également, comme il est de bonne règle dans l'élaboration de dictionnaires et / ou glossaires ou lexiques, toutes les termes mentionnées dans le texte sont successivement constituées en nouvelles entrées. Enfin, il est évident qu'une fois ce travail divulgué, on assistera à une multiplication des traditionnels chœurs de critique. Ils seront bien sûr les bienvenus, mais uniquement les critiques constructives seront prises en compte. D'ailleurs, sans eux, il n'est pas possible de progresser et de l'améliorer, l'unique et seul souhait dans l'esprit des auteurs, toujours disponibles aux adresses suivantes : carloscramez@gmail.com

 

Avertissement:

Afin d'éviter des malentendus, et parfois de graves erreurs, il est recommandé de toujours utiliser le Système international d'Unités (SI). On ne peut pas oublier que le désastre de la sonde spatiale américaine, à l'automne 1999, a été due, tout simplement, au fait que la NASA avait les instructions en unités métriques et que la société de Lockheed, qui a construit la sonde, a utilisé les unités anglo-saxonnes. Des erreurs similaires sont très courants dans l'industrie pétrolière. Nous nous rappelons d'une société pétrolière qui présenté sa candidature au développement d'un gisement de gaz avec des réserves (récupérables) d'environ un milliard (1 000 000 000) pieds cubes et que dans la lettre qu'elle a envoyée à la compagnie nationale propriétaire du champ, ses géoscientistes ont écrit 1Gm^3 et non 1G.m^3 , ce qui a fait rire beaucoup de monde. En fait, dans la lettre de la société pétrolière, candidate au développement du champ, les réserves récupérables était d'un gigamètre au cube (1 000 000 000 m)^3, soit environ un million de fois le volume de la Terre, et non de un giga mètres cubes (1 000 000 000 m^3). Les Unités du Système international (1960) ont été adoptés par tous les pays sauf par le Bengladesh et Libéria. Depuis Septembre 1993, l'utilisation du SI est obligatoire dans l'Union Européenne et Agences Fédérales Américaines. À plusieurs reprises, l'industrie pétrolière britannique a payée des amendes pour avoir violer la loi (utilisation mn comme une abréviation de million).

 

 

 

(I) Unités Fondamentales


Mètre (longueur)....................................................................................................................................................................................m
Kilogramme (masse).............................................................................................................................................................................kg
Second (temps).........................................................................................................................................................................................s
Ampère (intensité du courant électrique)............................................................................................................................................A
Kelvin (température)...........................................................................................................................................................................°K
Candela (intensité lumineuse)..............................................................................................................................................................cd

Définitions


Mètre (unité de longueur):
Longueur égale à 1 650 763.73 longueurs d'onde, dans le vide, la radiation correspondant à la transition entre les niveaux 2p10 et 5d5 de l'atome de krypton 86.

Kilogramme (unité de masse):
Massa du prototype en platine-iridium, qui a été approuvé par la Confédération Générale des Poids et Mesures, en 1889, et qui se déposé au pavillon de Breteuil (Sèvres, France).

Second (unité de temps):
Fraction 1⁄31 556 925.9747 de l'année tropique1900. C’est la seconde du temps des éphémérides (TE).

Ampère (unité d'intensité du courant électrique):
Intensité d'un courant électrique constant, qui maintenu dans deux conducteurs parallèles, rectilignes, de longueur infinie, section circulaire négligeable, et placés à une distance de 1 mètre dans le vide, produit, entre eux, une force de 2x10e^-7 newton par mètre de longueur.

Kelvin (unité de température):
Degré de l'échelle thermodynamique des températures absolues dans laquelle la température du point triple de l'eau (point du diagramme de phase qui correspond à la coexistence des trois états, liquide, solide et gazeux est de 273.16 degrés. On peut utiliser l'échelle de Celsius, dont le degré est égal au degré Kelvin et dont le zéro correspond à 27.15 degrés de l' échelle thermodynamique de Kelvin.

Candela (unité d' intensité lumineuse):
L'intensité lumineuse, dans une direction particulière, d'un trou, perpendiculaire à cette direction, avec une superficie de 1/60 centimètres carrés, rayonnant comme un radiateur intégral (corps noir) à la température de solidification du platine.

(II) Unités non Fondamentales

a) Unités Géométriques


Mètre carré (surface)..........................................................................................................................................m^2
Mètre cube (volume)............................................................................................................................................m^3
Radian (angle plane)................................................................................................................................................rad
Stéradian (angle solide)............................................................................................................................................Sr

b) Unités de Masse


Kilogramme par mètre cube (masse volumétrique).......................................................................kg/m^3
Kilogramme par mètre cube (concentration).................................................................................kg/m^3
Titre (pourcentage)......................................................................................................................................................%

c) Unités de Temps

Hertz (fréquence)........................................................................................................................................................Hz

d) Unités Mécaniques


Mètre par seconde (vélocité)..........................................................................................................................m/s
Mètre par seconde par seconde (accélération)..............................................................................m/s^2
Newton (force).............................................................................................................................................................N
Joule (travail ou énergie)...............................................................................................................................................J
Joule (chaleur)................................................................................................................................................................J
Watt (puissance)...........................................................................................................................................................W
Pascal (pression et tension)........................................................................................................................................Pa
Volt (tension électrique)................................................................................................................................................Ω

Ohm (résistance électrique).........................................................................................................................................Ω
Ampère (charge électrique)..........................................................................................................................A ou amp
Coulomb (quantité d'électricité)...............................................................................................................................C
Farad (capacité électrique)..........................................................................................................................................F
Henry (inductance électrique).....................................................................................................................................H
Weber (flux magnétique)...........................................................................................................................................Wb
Tesla (induction magnétique)........................................................................................................................................T

e) Unités Optiques


Lumen (flux lumineux)...............................................................................................................................................lm
Lux (éclairement lumineux)..........................................................................................................................................lx

Définitions:

Mètre Carré (unité de surface) :
Aire d'un carré de 1 mètre de côté.

Mètre Cube (unité de volume) :
Volume d'un cube de 1 mètre de côté.

Radian (unité d'angle plane) :
Angle, qui ayant son sommet au centre d'un cercle, intercepte, sur la circonférence de ce cercle, un arc de longueur égale au rayon du cercle.

Stéradian (unité d'angle solide) :
Angle solide, que ayant son sommet au centre d'une sphère, découpe sur la surface de cette sphère une aire égale à d'un carré de côté égal au rayon de la sphère.

Kilogramme par mètre cube (unité de masse volumétrique) :
Masse volumique d'un corps dont la masse est de 1 kg et le volume de 1 mètre cube.

Kilogramme par mètre cube (unité de concentration) :
Concentration d'un corps dans un échantillon homogène contenant un kilogramme du corps considéré dans un volume total d'un mètre cube.

Titre (unité de pourcentage) :
Le titre, d'un corps déterminé, d'un échantillon homogène, est le rapport, exprimé en un nombre décimal, de la mesure, relative a ce corps, d'une ampleur déterminée et de mesure, par rapport à l'ensemble de l'échantillon, la même taille.

Hertz (unité de fréquence) :
Fréquence d'un phénomène périodique dont la période est d'une seconde, ou le nombre de cycles par seconde. Le Hz peut être utilisée pour mesurer n'importe quel événement périodique, tels que les fréquences de radio, sismiques et sinusoïdales dont la fréquence de 1 H correspond à un cycle par second.

Mètre par seconde (unité de vélocité) :
La vitesse d'un objet en mouvement qu'animé d'un mouvement uniforme parcourt une distance de 1 mètre en 1 seconde.

Mètre par second par seconde (unité d'accélération) :
Accélération d'un corps mobile animé d'un mouvement uniformément varié, dont la vitesse varie, en 1 seconde, 1 mètre par seconde.

Newton (unité de force) :
Force que communique à un corps, avec une masse de 1 kilogramme, une accélération de 1 mètre par seconde par seconde.

Joule (unité de chaleur) :
L'unité de chaleur est le joule, puisque la chaleur est l'énergie.

Joule (unité de travail et énergie) :
Travail produit par un Newton dont le point d'application se déplace 1 mètre dans la direction de la force.

Watt (unité de puissance) :
Puissance de 1 joule par seconde.

Pascal (unité d'effort et pression) :
Effort qui agissant sur une surface plane de 1 mètre carré exerce sur cette surface une force totale de 1 newton.

Volt (unité de tension électrique) :
Différence de potentiel électrique qui existe entre deux points d'un conducteur traversé par un courant constant de 1 ampère, quand la puissance dissipée entre ces points est égale à 1 watt.

Ohm (unité de résistance électrique) :
Résistance électrique qui existe entre deux points d'un fil conducteur lorsqu'il y a une différence de potentiel constante de 1 volt, appliquée entre ces deux points, produit dans ce conducteur un courant de 1 ampère et conducteur n'est pas sous l'action d'une force magnétique.

Ampère (unité de charge électrique) :
Quantité de charge électrique qui passe par un point par unité de temps. Un ampère correspond au passage d'environ 6.242 x 10^18 électrons par un point en une seconde.

Coulomb (unité de quantité de électricité) :
Quantité d'électricité transportée en 1 seconde par un courant de 1 ampère

Farad (unité de capacité électrique) :
Capacité d'un condensateur électrique entre les pôles duquel apparaît une différence de potentiel de un volt, lorsqu'il est chargé d'une quantité d'électricité de 1 coulomb.

Henry (unité de inductance électrique) :
Inductance (rapport du flux de induction à travers un circuit, crié par un courant qui traverse le circuit, par l'intensité du courant) d'un circuit fermé dans lequel une force électromotrice de 1 volt est produite lorsque le courant électrique dans le circuit varie uniformément dans le rapport de 1 ampère par seconde.

Weber (unité de flux magnétique) :
Le flux magnétique qui, traversant un circuit d'une seule bobine produit une force magnétique d'un volt, ce qui peut devenir nulle en une seconde, par une diminution progressive.

Tesla (unité de induction magnétique) :
Induction magnétique uniforme, que répartie sur une superficie de 1 mètre carré, produit à travers cette surface un flux magnétique total d'un weber. Un gauss (G ou Gs) vaut 4.10 T (tesla).

Lumen (unité de flux lumineux) :
Le flux lumineux émis par nu stéradian dans une source ponctuelle uniforme située au sommet de l'angle solide et ayant une intensité de 1 candela.

Lux (flux lumineux) :
Éclairage d'une surface qui reçoit, normalement, d'une manière uniformément répartie, un flux lumineux de 1 lumen par mètre carré.

Candela par mètre carré (éclairement lumineux) :
Éclairement d'une fonte dont l'intensité lumineuse est 1 candela et la surface de un mètre carré. Dans une direction donnée, l'éclairement est le rapport entre l'intensité lumineuse d'une surface, mesure dans un certain angle S avec la normale à cette surface, par la projection orthogonale de la surface perpendiculaire à la direction souhaitée. L'unité est est cd/m^2 (candela par mètre carré) ou stilib.

(III) Unités d'autres Systèmes

a) Unités Géométriques


Volta (angle plane)........................................................................................................................................................................v
Grade (angle plane)....................................................................................................................................................................gd
Degré (angle plane).............................................................................................................................................................gr ou °
Minute (angle plane).........................................................................................................................................................min ou '
Seconde (angle plane)........................................................................................................................................................sec ou ''
Mile (longueur)...........................................................................................................................................................................mi
Yard (longueur)...........................................................................................................................................................................yd
Pied (longueur)......................................................................................................................................................................ft ou '
Pouce (longueur).................................................................................................................................................................in ou ''
Acre (surface)...........................................................................................................................................................................acre
Hectare (surface)........................................................................................................................................................................ha
Pied carré (surface)..................................................................................................................................................................ft^2
Baril (volume)..............................................................................................................................................................................bl
Acre-pied (volume).........................................................................................................................................................acre-pied
Pied-cube (volume)...................................................................................................................................................................ft^3
Gallon impérial (volume)...................................................................................................................................................gal UK
Gallon américain (volume)..............................................................................................................................................gal EUA
Litre (volume).................................................................................................................................................................l ou dm^3
Tonne (masse).................................................................................................................................................................................t
Livre (masse)................................................................................................................................................................................lb
Once (masse)..................................................................................................................................................................................υ
Carat métrique (masse).............................................................................................................................................................CD

b) Unités de temps


Seconde (temps).............................................................................................................................................................................s
Minute (temps)..........................................................................................................................................................................min
Heure (temps)................................................................................................................................................................................h
Jour (temps)...................................................................................................................................................................................d
Seconde astronomique (temps)...................................................................................................................................................sE
Jour astronomique (temps)........................................................................................................................................................dE
Année sidérale (temps)..................................................................................................................................................................a
Année tropique (temps).................................................................................................................................................................y
Millions d'années en arrière (temps, âge géologique)............................................................................................................Ma
Millions d'années (intervalle de temps géologique)................................................................................................................My

c) Unités de densité


Kilogramme par mètre cube (densité).............................................................................................................................kg/m^3
Grammes par centimètre cube (densité)..........................................................................................................................g/cm^3
Livres par pied cube (densité)............................................................................................................................................lb/ft^3

d) Unité de force


Dyne (force)...............................................................................................................................................................................dyn

e) Unités de pression


Atmosphère (pression).............................................................................................................................................................atm
Newton par mètre carré (pression)....................................................................................................................................N/m^2
Livre par pouce carré (pression)..............................................................................................................................................psi

f) Unités de perméabilité


Darcy (perméabilité)....................................................................................................................................................................D
Centimètres carrés (perméabilité).......................................................................................................................................cm^2
Mètres carrés (perméabilité)..................................................................................................................................................m^2

g) Unités de viscosité


Poise (viscosité dynamique).........................................................................................................................................................P
Stoke (viscosité cinématique).......................................................................................................................................................ν

h) Unités de production


Barils par jour (pétrole)..........................................................................................................................................................bl/d
Mètres cubes par jour (pétrole)..........................................................................................................................................m^3/d
Pieds cubes par jour (pétrole).............................................................................................................................................ft^3/d

i) Unité de vitesse


Noeud (vitesse).............................................................................................................................................................................no

j) Unité de moment angulaire


Moment angulaire (moment angulaire).....................................................................................................................................L

k) Unité de quantité numérique


Avogadro (quantité de matière).................................................................................................................................................Av

l) Unité de quantité de substance


Mole (quantité de substance).......................................................................................................................................................n

m) Unités de travail ou énergie


Watt-heure (énergie)...............................................................................................................................................................W/h
Electron-volt (énergie)...............................................................................................................................................................eV

n) Unités de quantité de chaleur


Calorie (chaleur)......................................................................................................................................................................W/h

o) Unités de radioactivité


Curie (activité radio-nucléaire).................................................................................................................................................Ci
Roentgen (radiation)....................................................................................................................................................................R

p) Unité d'intensité


Décibel (intensité de son)...........................................................................................................................................................dB

 

Définitions :

Volta (unité de angle plane) :
Angle, dans le centre, qui coupe sur une circonférence un arc d'une longueur égale à de la circonférence.

Grade (unité de angle plane) :
Angle, dans le centre, qui coupes sur une circonférence un arc d'une longueur égal à 1 / 400 de cette circonférence.

Degré (unité de angle plane) :
Angle, dans le centre, qui coupe sur une circonférence un arc d'une longueur égale à 1/360 de la circonférence.

Minute (unité de angle plane) :
Angle, dans le centre, qui coupe sur une circonférence un arc d'une longueur égale à 1/21600 de la circonférence. Un angle de 1 minute vaut 1/60 d'un angle de 1 degré.

Seconde (unité de angle plane) :
Angle, dans le centre, qui coupe sur une circonférence un arc d'une longueur égal à 1/129600 de cette circonférence. Un angle de 1 seconde vaut 1 / 60 d'un angle de 1 minute.

Mille (unité de longueur) :
Distance moyenne entre deux points sur la surface de la Terre qui ont la même longitude et dont les latitudes diffèrent d'un angle de 1 minute. Une mille conventionnellement vaut 1852 mètres.

Yard (unité de longueur) :
Unité de longueur l'anglais et américains dont la mesure standard était la vare. Un yard a 3 pieds ou 36 pouces. Le yard le plus couramment utilisé est le yard international qui vaut 0,9144 mètres. Deux yards sont une vare.

Pied (unité de longueur) :
Distance à peu près équivalent à un tiers d'un mètre. Le pied varie de système à système. Le plus courant est le pied international. Il y a 3 pieds dans le yard et 12 pouces dans un pied.

Pouce (unité de longueur) :
Unité de longueur dans différents systèmes. Varie de système à système. Il y a 36 pouces dans un yard et 12 pouces dans un pied.

Acre (unité de surface) :
Une acre internationale vaut 4.0468564224 m^2. L'acre est souvent utilisée pour mesurer les surfaces des terres agricoles. Une acre est d'environ 40% d'un hectare.

Hectare (unité de surface) :
Unité de surface égale à 10 000 m^2. L'hectare est couramment utilisé pour mesurer agraire; 100 acres correspondent à un hectomètre carré.

Pied carré (unité de surface) :
Aire d'un carré dont les côtés mesurent 1 pied, autrement dit, 0.333 yards, 12 pouces ou 0.3048 mètres de longueur.

Acre-pied (unité de volume) :
Unité définie par le volume de 1 acre de surface et une profondeur de 1 pied. Comme la surface de 1 pied carré est défini par 66 fois 660 pieds, le volume d'une acre-pied est égal à 43.560 pieds cubes, ou 325 852 gallons américain ou 271 328 gallons impériaux ou US ou 1 233.5 m^3.

Baril (n'est pas une unité de volume) :
Employé au États-Unis comme une mesure des produits pétroliers. Partout dans le monde, les produits pétroliers sont mesurés en mètres cubes (m^3) ou en tonnes (t). Un baril correspond à 159 litres ou 35 gallons impériaux, autrement dit, 45 gallons américains.

Pied cube (unité de volume) :
Volume d'un cube dont les côtés ont 1 pied, c'est-à-dire, 0.03048 mètres de longueur. 1 ft^3 est égal à 1728 in^3 = 0.037039 yd^3 = 0.028316846592 m^3 = 28.316846592 l = 6.22883546 gallons impériaux = 7.48051948 gallons US = 0.1781076 barils (pétrole).

Gallon impérial (unité de volume) :
Une des définitions les plus courantes du gallon. Au Royaume-Uni un gallon correspond approximativement à 4.5 litres.

Gallon américain (unité de volume) :
Aux États-Unis d'Amérique, il existe deux types de gallons: (i) Le gallon liquide qui vaut d'environ 3.8 litres et (ii) gallon sec qui vaut environ 4.4 litres.

Litre (unité de volume) :
Volume égal à 0.001 m^3, très souvent notée 1 décimètre cube (dm^3).

Tonne (unité de masse) :
Équivalant à 1000 kg (tonnes métriques). Ne pas confondre avec la tonne longue qui vaut 2240 livres, soit environ 1 016 kg.

Livre (unité de masse) :
Une livre internationale "avoirdupois" vaut 453.59237 grammes.

Once (unité de masse) :
Un once internationale "avoirdupois" vaut 28.349523125 grammes.

Masse atomique (unité de masse) :
Équivalant à 1 / 12 de la masse de l'atome de 12C neutre, c'est-à-dire, égal à 1.66 x 10^-24 g ou 931. 49 MeV (millions d'électron-volts).

Carat métrique (unité de masse) :
Unité de pesée des pierres précieuses. Un carat (CD) vaut 200 mi (0.007055 onces ou 3.086 grains métriques). Le CD peut être divisé en 100 points de deux milligrammes chacune.

Seconde (unité de temps) :
Durée de 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre deux niveaux hyper-fins de l'état fondamental de l'atome de césium 133. Une seconde vaut 9 192 631 770 périodes du rayonnement type du 133Cs.

Minute (unité de temps) :
Durée de 60 s ou 55 155 790 620 périodes du rayonnement caractéristique do 133 Cs.

Heure (unité de temps):
Durée de 60 min ou 3 309 368 437 200 périodes du rayonnement caractéristique do 133 Cs.

Jour (unité de temps) :
Durée de 24 h ou 79 424 842 492 800 périodes du rayonnement caractéristique do 133 Cs.

Seconde astronomique (unité de temps) :
Durée équivalente à 1 / 86 400 du jour solaire moyen.

Jour astronomique (unité de temps) :
Intervalle de temps égal à 86 400 / secondes astronomiques.

Année sidérale (unité de temps) :
Temps nécessaire pour que la Terre retourne à la même position par rapport au soleil et à une étoile lointaine.

Année tropique (unité de temps) :
Intervalle de temps entre deux points successifs des équinoxes du printemps.

Millions d'années en arrière (temps, âge géologique) :
Désigne l'âge de la formation d'un corps géologique. Ainsi, on dit, par exemple, ces roches âgées de 91 millions d'années et on écrit 91 Ma.

Millions d'années (intervalle de temps) :
Pour attribuer un événement géologique qui a duré, par exemple, 10 millions années, et on écrit 10 My. Ainsi, il ne faut pas confondre Ma (âge géologique) avec My (intervalle de temps géologique).

Kilogrammes par mètre cube (unité de densité) :
Unité de densité représentée par kg/m^3, ce qui indique le poids de 1 mètre cube d'une substance particulière. Ainsi, la densité de l'eau à une température de 277 ° K, est de 1 000 kg/m^3, une fois que 1 mètre cube d'eau pèse 1 000 kg (tonne métrique).

Grammes par centimètre cube (unité de densité) :
Unité de densité représentée par g/cm^3, ce qui indique le poids de 1 centimètre cube d'une substance. Ainsi, la densité de l'eau à une température de 277 ° K, est de 1 g/cm^3, puisque 1 centimètre cube d'eau pèse 1 g.

Livres par pied cube (unité de densité) :
Unité de densité représentée par lb/ft^3, ce qui indique le poids d'un pied cube d'une certaine substance. Ainsi, la densité de l'eau à une température de 277 °K, est 62.43 lb/f^3 , vu qu'un pied cube d'eau pèse 62.43 lb.

Dyne (unité de force) :
Unité de force, qui vaut 10 micro-Newtons. Le dyne est définie comme la force (1 dyn=1 gcm/s^2 = 5.10 kgm/s^2 =10 μN) nécessaire pour accélérer une masse de 1 gramme à un taux de un centimètre par seconde carrée. Le dyne par centimètre est l'unité couramment utilisée pour mesurer la tension de surface.

Atmosphère (unité de pression) :
Force appliquée perpendiculairement à une unité de surface, définie comme 101 325 Pa ou 1 013 250 dyn/cm^2.

Newtons par mètre carré (unité de pression) :
Force, en Newtons, appliquée perpendiculairement sur une superficie de 1 m^2. Dix Newtons par m^2, c'est-à-dire, 10 N/m^2 sont équivalentes à 9.895 x 10^-5 atm, 1 450 103 lb par pied carré (psi) ou 100 dyn/cm^2.

Livre par pouce carré (unité de pression) :
Force, en livres, appliquée perpendiculairement sur une surface de 1 in^2. Dix livres par mètre carré, autrement dit, 10 lb/inc^2 sont équivalentes à 6.805 x 10e -1 atmosphères (atm), 6.895 x 10 5 dyn/cm^2 ou 6.895 x 10e4 newtons par mètre carré (10 N / m^2).

Darcy (unité de perméabilité) :
Unité très utilisée dans géologie et surtout dans l'industrie pétrolière, qui exprime la capacité d'une roche de transmettre des fluides. Une roche avec une perméabilité de 1 darcy (D) permet la circulation de 1 cm^3 / s de un fluide avec une viscosité de cP (1 Pa x s) sous un gradient de 1 atm / cm agissant sur une surface de 1 cm^2. Le darcy (nommé d'après le Français Henri Darcy), comme d'autres mesures de perméabilité ont les même unités que l'aire. La perméabilité de la roche est exprimée en millidarcis (1Md darcy est égal à 0,001), parce que les roches où on trouve du pétrole et de l'eau ont une perméabilité qui varie entre 5 et 500 mD.

Centimètres carrés (unité de perméabilité) :
Unité de perméabilité équivalente a 1.013 x 10^8 darcy ou 10^-4 m^2.

Mètres carrés (unité de perméabilité) :
Unité de perméabilité équivalente à 1.013 x 10^-2 darcy ou 10^-4 m^2.

Poise (unité de viscosité dynamique) :
Viscosité dynamique d'un fluide, dans lequel le mouvement rectiligne et uniforme, dans le plan, d'une surface plane, solide, indéfinie, donne lieu à une force en arrière de 1 newton par mètre carré de surface en contact avec le fluide en écoulement permanente, dès que le gradient de vitesse du fluide, sur la surface du solide et par mètre de distance normale à la dite surface, est de 1 m/s.

Stoke (unité de viscosité cinématique) :
Viscosité cinématique d'un fluide dont la viscosité dynamique est de 1 poise et la masse volumique 1 kg/m^3. Dans certaines circonstances, il est nécessaire de travailler avec la force entre de la viscosité et l'inertie (caractérisée par la densité du fluide ρ). La viscosité cinématique est donnée par la formule: ν = μ / ρ, où ν est la viscosité cinématique (m^2/s), μ la viscosité dynamique (Pa.s = 10 P = 1 kg x m^-1 x s^-1) et ρ est la densité (kg/m^3).

Barils par jour (unité de production de pétrole) :
Nombre de barils de pétrole produits en 24 heures.

Mètres cubes par jour (unité de production de hydrocarbures) :
Nombre de mètres cubes de pétrole ou de gaz produit par jour.

Pieds cubes par jour (unité de production de hydrocarbures) :
Nombre de pieds cubes de pétrole ou de gaz produit par jour.

Noeud (unité de vitesse) :
Vitesse uniforme qui correspond à un mile par heure.

Moment angulaire (unité de moment angulaire) :
Produit de la plus petite distance d'une particule à l'axe de rotation par le moment de la particule (le produit de sa masse par la vitesse). La direction du vecteur du moment angulaire est la direction de l'avance d'un tire-bouchon dont la rotation se chevaucherait à la distance et au moment suivant l'angle plus petit.

Avogadro (unité quantité de matière) :
Nombre d'unités de la masse atomique dans un gramme. Il y a 6.0221367 (± 36) x 10^23 unités atomiques dans un gramme. Ce nombre est appelé nombre d'Avogadro, qui étant une masse (g) à diviser par une masse (υ) n'a pas de dimensions.

Mole (unité de quantité de substance) :
Masse Ave 1 (Avogadro), parfois considéré comme un synonyme d'Avogadro.

Watt-heure (unité de travail) :
Produit de la moyenne du nombre de watts et le nombre heures durant lesquelles ils ont été dépensés.

Electron-volt (unité de quantité de énergie) :
Quantité de l'énergie cinétique acquise par un électron quand il est accéléré par une différence de potentiel électrostatique d'un volt. Un électron-volt est un volt (1 joule divisé par 1 coulomb) multiplié par la charge électronique (1.60217653 x 10^-19 coulombs) x 1 eV = 1.6021765 x 10^-19 joules).

Calorie (unité de quantité de chaleur) :
Dans le SI, cette unité a été remplacé par le joule. Cependant, dans des nombreux pays, elle continue d'être utilisée comme unité d'énergie alimentaire (1 calorie vaut environ 4.2 kJ).

Curie (unité de activité radio-nucléaire) :
Activité radio-nucléaire d'une quantité de radium-élément (ou noyau radioactif) pour laquelle le nombre de désintégrations par seconde est de 3.7 x 10^10.

Roentgen (unité d'activité de radiation) :
Quantité de rayonnement X ou γ tel que l'émission corpusculaire qui lui est associée, en 0.001293 grammes d'air, produit dans l'air ions une quantité d'électricité, de n'importe quel signe, égale à 1/(3 x 10^9) Coulomb.

Décibel (unité d'intensité) :
Un décibel (dB) est une unité logarithmique de la mesure qui exprime la magnitude d'une grandeur physique (habituellement puissance ou intensité) relative un niveau de référence spécifique. Une fois qu'elle il exprime le taux de deux quantités avec la même unité, c'est une unité sans dimension. Le décibel est le dixième du bel, qui est une unité rarement utilisée.

 

Préfixes Multiplicateurs

Exa (E)...................................................................................................................................................................................10^18
Peta (P)..................................................................................................................................................................................10^15
Tera (T)..................................................................................................................................................................................10^12
Giga (G)...................................................................................................................................................................................10^9
Mega (M).................................................................................................................................................................................10^6
Hectoquilo (hk).......................................................................................................................................................................10^5
Miria (ma)...............................................................................................................................................................................10^4
Quilo (k)...................................................................................................................................................................................10^3
Hecto (h)..................................................................................................................................................................................10^2
Deca (da)..................................................................................................................................................................................10^1
Deci (d)....................................................................................................................................................................................10^-1
Centi (c)..................................................................................................................................................................................10^-2
Mili (m)...................................................................................................................................................................................10^-3
Micro (µ)................................................................................................................................................................................10^-6
Nano (n)..................................................................................................................................................................................10^-9
Pico (p).................................................................................................................................................................................10^-12
Femto (f)...............................................................................................................................................................................10^-15
Ato (a)...................................................................................................................................................................................10^-18

.

Mesures de Production (HC)

Conversions Approximatives

1 M bl/d de pétrole .........................................égale à..........................................................................................50 Mt/an

1 Mt/an.............................................................égale à.........................................................................................7 b (EUA)

1 bl (EUA)........................................................égale à.................................................................................................0.14 t

1 M ft^3/d........................................................égale à....................................................................................10 M m^3/an

1 m^3 de LNG (gaz naturel liquéfié).............égale à...................................................................600 m^3 de gaz naturel

1 Mb/d..............................................................égale à.............................................................................50 Mt/an1 Mt/an

1 Mt/a...............................................................égale à..........................................................................................20000 b/d

1 t (métrique) de pétrole.................................égale à........................................................................................7 bl (EUA)

1 bl (EUA)........................................................égale à..............................................................................0.14 t (métrique)

1 M ft^3/d........................................................égale à....................................................................................10 M m^3/an

1 m^3/an de LNG............................................égale à............................................................600 m^3 de gaz natural /an

 

AAPG....................................................................................................................................American Association of Petroleum Geologists

API.....................................................................................................................................................................Americam Petroleum Institut

API gravity..............................................................................................................API gravité = (141.5/ gravité específique à 60°F)-131.5

ATP...............................................................................................................................................................................Adénosine triphosphate

AU.......................................................................................................................................................................................Unité astronomique

AUSWUS.............................................................................................................................................................Australia West United States

bl ou b........................................................................................................................................................................................Baril de pétrole

BdA..................................................................................................................................................................................Biseau d'aggradation

boe.......................................................................................................................................................................Barils de pétrole equivalente

BCPD.........................................................................................................Barrels of Condensate Per Day (bariles de condensat par jour)

BOPD...................................................................................................................................Barrels of Oil Per Day (barils d'huile par jour)

BdP...............................................................................................................................................................................Biseau de progradation

BS...............................................................................................................................................................Biseau sommital, Biseau supérieur

BUU............................................................................................................................................Discordance de la ruptura de la lithosphère

Con.................................................................................................................................................................................................Concordante

CaCO_3..........................................................................................................................................................................Carbonate de calcium

CHN..............................................................................................................................................................................Cortège de haut niveau

CBN.................................................................................................................................................................................Cortège de bas niveau

CDP..................................................................................................................................................................................Common Depth Point

CFC.................................................................................................................................................................................Chlorofluorocarbonés

CO...................................................................................................................................................................................Monoxyde de carbone

CO_2...................................................................................................................................................................................Dioxyde de carbone

CO_3...............................................................................................................................................................Ions triangulaires de carbonate

CPHNT....................................................................................................................................Complexe Progradant de Haut Niveau Tardif

CRHN.........................................................................................................................................................Cortège Régressif de Haut Niveau

CRM..................................................................................................................................................................Chemical Remant Magnetism

CSB.......................................................................................................................................................................Cônes sous-marins de bassin

CST.........................................................................................................................................................................Cônes sous-marins de talus

CT.......................................................................................................................................................................................Cortège transgressif

DHI...................................................................................................................................................................Direct Hydrocarbon Indicator

DRM..............................................................................................................................................................Deposition Remnant Magnetism

DSDP...........................................................................................................Deep Sea Drilling Project (project de forage en mer profonde)

EECO.......................................................................................Early Eocene Climate Optimum (optimum climatique de l'Eocène Initial)

ESSENCE................................................................................Equation of State: SupErNovae trace Cosmic Expansion (équation d'état)

FCC....................................................................................................Gauss, unité de flux magnifique; dans le SI, 1Gs vaut 10^-4 T (tesla)

GOC..........................................................................................................................................................Gas Oil Contact (contact gaz huile)

GOR .................................................................................................................................................................Gas Oil Ratio (ratio gaz huile)

GSSP..............................................................................................................................................................Global Standard Ypresian Stage

GWC ........................................................................................................................................................Gas Water Contac (contac gaz eau)

HC................................................................................................................................................................................................Hydrocarbure

HCS....................................................................................................Hummock Cross Stratification (stratification entrecroisée bosselée)

He.............................................................................................................................................................................................................Helium

HR.............................................................................................................................................................Diagramme de Hertzsprung-Russel

IFP..........................................................................................................................................................................Institut Français du Pétrole

INT...........................................................................................................................................................................Indice de niveau trophique

LPG.........................................................................................................................................................................Liquified Petroleum Gases

Ma...........................................................................................................................................Millions d'années en arrière (âge géologique)

M eV............................................................................................................................................................................Million de électrons volt

MTR.............................................................................................................Thermal Remant Magnetism (magnétisme thermal remanent)

MSY......................................................................................................................................................................Maximum Sustainable Yield

My.......................................................................................................................................................Millions d'années (intervalle de temps)

NGL...............................................................................................................................................Natural Gas Liquids (gaz naturel liquéfié)

NIST......................................................................................................................................National Institute of Standards and Technology

LPG..................................................................................................................................Liquefied Petroleum Gas ( gaz de pétrole liquéfié)

O_2.....................................................................................................................................................................................................Dioxygène

Ob...........................................................................................................................................................................................................Oblique

OPEC...........................................................................................................................Organization of the Petroleum Exporting Countries

OWC....................................................................................................................................................Oil-Water Contact (contact huile eau)

P..............................................................................................................................................................................................................Paralèle

PAG......................................................................................................................................................................................Petite âge glaciaire

PCC...........................................................................................................................................Profondeur de compensation des carbonates

PETM................................................................................................................................................Paleocene / Eocene Thermal Maximum

PHN..................................................................................................................................................................................Prisme d'haut niveau

PBN...................................................................................................................................................................................Prisme de bas niveau

PBNi.................................................................................................................................................................Prisme de bas niveau inférieur

PBNs................................................................................................................................................................Prisme de bas niveau supérieur

POGO..................................................................................................Point of Greatest Onlap (point plus haut des biseau d'aggradation)

PS.................................................................................................................................................................Diagraphie de potential spontané

RG........................................................................................................................................................................Diagraphie du rayon gamma

Rs..........................................................................................................................................................................Taux de subsidence corrigée

SB................................................................................................................................................................Limite d'un cycle stratigraphique

SB 10.5 Ma...................................................................................................................................Discordance d'âge 10.5 millions de'années

SBP...............................................................................................................................................................Surface basale des progradations

SDRs.............................................................................................................Seaward Dipping Reflectors (réflecteur inclinant vers la mer)

SEG.........................................................................................................................................................Societé Européenne de Géophysique

SNG.....................................................................................................................................Synthetic Natural Gas (gaz natural synthétique)

SPE......................................................................................................Society of Petroleum Engineers (Société des Ingéneurs du Pétrole)

SU................................................................................................................................................................Discordance du sommet des SDRs

SWEAT...............................................................................................................................Southwestern United States and East Antarctica

Th...........................................................................................................................................................................................................Thorium

TCS.....................................................................................................Trough Cross Stratification (stratification entrecroisée mamelonée)

TEMIS.............................................................................................................Logiciels qui permettent de quantifier un système pétrolier

T/R....................................................................................................................................................................Cycle transgression/régression

TRM....................................................................................................................................................................Thermal Remant Magnetism

U............................................................................................................................................................................................................Uranium

uRs................................................................................................................................................................Taux de subsidence non-corrigée

Vc..................................................................................................................................................................................................Vallée incisée

φ....................................................................................................................................................................................Diamêtre en mm -log^2

σ_1..................................................................................................................................Axe majeur de l'ellipsoïde des contrantes effectives

σ_2...................................................................................................................................Axe moyen de l'ellipsoïde des contrantes effectives

σ_3..................................................................................................................................Axe mineur de l'ellipsoïde des contrantes effectives

10^3................................................................................................................................................................................Dix exponentielle trois

10^-3...................................................................................................................................................................Dix exponentielle moins trois

 

Longueur :
- pour convertir m en ft multiplier par.......................................................................................................................................................12.0
- pour convertir m en in multiplier par......................................................................................................................................................39.7
- pour convertir ft en in multiplier par......................................................................................................................................................12.0
- pour convertir ft en m multiplier par...................................................................................................................................................0.3048
- pour convertir in en m multiplier par..................................................................................................................................................0.0254

Aire:
- pour convertir acres en ha multiplier par.........................................................................................0.4046
- pour convertir ha en acres multiplier par...........................................................................................2.471
- pour convertir m^2 en ft^2 multiplier par..........................................................................................10.76
- pour convertir ft^2 en m^2 multiplier par........................................................................................0.0929

Volume:
- pour convertir acres-ft en bl multiplier par.......................................................................................................................................7 758.4
- pour convertir bl en m^3 multiplier par...............................................................................................................................................0.159
- pour convertir bl en ft^3 multiplier par................................................................................................................................................5.615
- pour convertir m^3 en bl multiplier par...............................................................................................................................................6.290
- pour convertir m^3 en ft^3 multiplier par..............................................................................................................................................5.31
- pour convertir ft^3 en bl multiplier par..............................................................................................................................................0.1781
- pour convertir ft^3 en m^3 multiplier par................................................................................................................................2.832 x 10^2

Écoulement:
- pour convertir bl/d en m^3/s multiplier par..................................................................................1.8401 x 10^-6
- pour convertir m^3/s en bl/d multiplier par...................................................................................0.5434 x 10^6

Masse:
- pour convertir kg en lb multiplier par...............................................................................................................................................10.4536
- pour convertir lb en kg multiplier par...................................................................................................................................................2.205

Densité:
- pour convertir g/cm^3 en kg/m^3 multiplier par.........................................................................................1 000
- pour convertir g/cm^3 en lb/ft^3 multiplier par..........................................................................................62.43
- pour convertir kg/m^3 en g/cm^3 multiplier par..........................................................................................10^3
- pour convertir kg/m^3 en lb/ft^3 multiplier par......................................................................................0.06243
- pour convertir lb/ft^3 en g/cm^3 multiplier par......................................................................................0.01602
- pour convertir lb/ft^3 en kg/m^3 multiplier par............................................................................................6.02

Pression:
- pour convertir atm en psi multiplier par.................................................................................................................................................14.7
- pour convertir atm en dyn/cm^2 multiplier par.....................................................................................................................1.0133 x 10^6
- pour convertir atm en N/m^2 multiplier par..........................................................................................................................1.0133 x 10^5
- pour convertir psi en atm multiplier par.................................................................................................................................6.805 x 10^-2
- pour convertir psi en dyn/cm^2 multiplier par........................................................................................................................6.895 x 10^4
- pour convertir psi en N/m^2 multiplier par............................................................................................................................6.895 x 10^-3
- pour convertir N/m^2 en atm multiplier par..........................................................................................................................9.869 x 10^-6
- pour convertir N/m^2 en psi multiplier par............................................................................................................................1.450 x 10^-4
- pour convertir N/m^2 en dyn/cm^2 multiplier par...................................................................................................................................10

Viscosité Absolute:
- pour convertir centipoise en g/(cm) (s) (poise) multiplier...........................................................................10^-2
- pour convertir centipoise en kg/(m) (s) (=N. s/m^2) multiplier par...........................................................10^-3

Perméabilité:
- pour convertir Darcy (D) en cm^2 multiplier par..................................................................................................................9.869 x 10^-9
- pour convertir Darcy (D) en m^2 multiplier par..................................................................................................................9.869 x 10^-13
- pour convertir cm^2 en Darcy (D) multiplier par....................................................................................................................1.013 x 10^8
- pour convertir cm^2 en m2 multiplier par...........................................................................................................................................10^-4
- pour convertir m^2 en Darcy (D) multiplier par....................................................................................................................1.013 x 10^-2
- pour convertir m^2 en cm^2 multiplier par..........................................................................................................................................10^4

Chaleur Travail Énergie:
- pour convertir J en gcal multiplier par.......................................................................................................0.2389
- pour convertir cal/(g) (mo) en J/(kg) (mol) multiplier par............................................................................4186
- pour convertir J/(kg) (mol) cal/(g) (mo) en cal/(g) (mo) multiplier par......................................0.2389 x 10^-3

1) Semi-axe majeur (moyenne de la distance Terre - Soleil)....................................................1 AU (unité astronomique)
--------------------------------------149 597 870.7 km ...................499 005 secondes lumière

2) Semi-axe mineur......................................................................................................................................149 576 881,1 km
------------------------------------0.9998597 AU

3) Excentricité (a^2-b^2)^1/2/a................................................................................................................................0.01675104

4) Périhélie..............................................................................................................................................................0.98324896 AU

5) Différence entre l'aphélie et périhélie (moyenne).....................................................................1.01675104 AU
----------------------------------------------------------------------------------------3.35%

6) Vitesse orbitale (moyenne)...........................................................................................................................29 784 km/s^-1

7) Inclinaison de l'axe (normale au plan de l'orbite)........................................................................................23° 26' 28''
......................................................latitude des tropiques colatitude des cercles polaires

8) Variation séculaire (angle d'inclinaison)...................................................................................± 21° 39' pour ± 24° 36'

9) Angle de precéssion...................................................................................................................................2 x 23° 26' 28''

10) Període de precéssion


Général.................................................................................................................................................................25 800 ans
Climatique (périhélie-périhélie, été-été)...........................................................................................................21 000 ans

11) Temps

12) Rayon


Rayon Polaire (c)............................................................................................................................................6 356.779 km
Rayon Équatorial (moyenne) (a)...................................................................................................................6 378.139 km
Rayon Moyen (a^2 c)^1/3..............................................................................................................................6 371.011 km
Aplatissement.......................................................................................................................................................21.360 km

0,00033 = 0,33%

13) Dimensions

14) Aire

15) Élévation Moyenne

16) Masse


17) Volume

18) Densité Moyenne.........................................................................................................................................5.518 g cm^3

19) Structure Interne

20) Accélération de la gravité (g) (moyenne, niveau de la mer).........................................................9.81260 m/s^2

21) Accélération de la gravité (go) (standard)....................................................................................9.80665 m/s^2

22) Champ Magnétique (moyenne)............................................................................................0.5 gauss = 0.5 x 10^-4 T

23) Flux Géothermique (moyenne).....................................................................................................6.142 x 10-2 W/m^2

24) Âge.........................................................................................................................................................................4.6 x 10^9 ans

25) Satellites Artificiels

 

 

 

 

 


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Dernière modification : Mai, 2014